Dans un contexte de crise internationale — sanitaire hier ; géopolitique et énergétique aujourd’hui —, les entreprises de taille intermédiaire (ETI) françaises doivent faire face à un triple impératif de transformation — numérique, vie au travail et environnement.Sont-elles en ordre de bataille ? Vraiment conscientes des enjeux à venir ? Quels moyens ont-elles engagé pour y répondre ? Premier enseignement de notre baromètre « Future Ready » : dirigeants et collaborateurs sont alignés quant à la nécessité de relever ces défis.
Pour autant, si la révolution numérique est bien intégrée, l’Intelligence Artificielle (IA) n’est pas encore considérée comme une priorité, résistance au changement oblige.De même, si la transition environnementale est en marche, les objectifs à atteindre en matière de réduction des émissions restent à définir de façon précise. Quant à la raison d’être, gage d’engagement collectif auquel les collaborateurs sont sensibles, même définie, sa diffusion reste partielle au sein des ETI.
Pour réaliser la 5e édition de ce baromètre, EY et Seven2, avec le soutien du METI (Mouvement des entreprises de taille intermédiaire) et de Gilles Babinet, co-président du Conseil national du numérique, ont mandaté OpinonWay.L’institut d’études a interrogé 150 dirigeants et 1 000 collaborateurs d’ETI quant à leurs convictions relatives aux trois dynamiques de transformation qui conditionnent la durabilité des entreprises françaises :
L’objectif de ce baromètre ? Donner aux ETI une grille de lecture à la triple dimension stratégique — numérique, talents et environnement —, à même de les aider à s’orienter et à réussir dans le monde d’aujourd’hui et de demain.
Le spécialiste de la gestion de patrimoine intègre au sein de son pôle de gestion privée le cabinet Kribs Conseils basé en Normandie et en Île-de-France.
"En fusion-acquisitions, l'aspect financier n'est pas le seul à maîtriser. Je consacre 60% de mon temps à des sujets fiscaux, sociaux, juridiques, réglementaires, opérationnels...", souligne Roch Massari, homme-orchestre de la croisse externe de Crystal, leader de la gestion privée indépendante en France.
Benjamin Brochet, directeur général délégué de Crystal, décrypte l'acquisition de Qualion.
Le groupe français Crystal réalise sa première acquisition d’envergure au Luxembourg avec le rachat des diverses entités de Qualion.
Le conseil montpelliérain en gestion de patrimoine détenu par Goldman Sachs et un continuation fund de Seven2 s'empare de Qualion, un acteur luxembourgeois de 1,4 Md€ d'encours et 12 M€ de revenus. Cela permet au groupe tricolore d'atteindre les 300 M€ de chiffre d'affaires consolidé.
Le groupe montpelliérain de gestion de patrimoine de 25 Md€ d’encours, détenu par Goldman Sachs, s’empare d’Artemis Consult, un cabinet affichant 178 M€ d’actifs présent à Grenoble et Gap qu’il valorise entre 5 M€ et 10 M€.